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Projecteurs sur le cosmétique naturel et bio

Dans les années 1920 naissaient les premiers cosmétiques naturels en Allemagne avec Weleda en 1922 et Dr Hauschka (Wala) en 1929. Ce
n’est que dans les années 70 que les premiers français sont arrivés avec Phyt’s en 1972 et Paltz en 1976. Jusqu’aux années 2000, ces produits
n’étant destinés qu’au marché restreint des circuits Bio, aucune réglementation spécifique n’avait alors été définie. Depuis, les
choses ont changé. De 2000 à 2005 pour garantir aux consommateurs une véritable qualité de fabrication et défendre leurs intérêts, les acteurs
européens du cosmétique naturel et biologique se sont regroupés. De leurs alliances et de leurs histoires sont nés plusieurs cahiers des charges et
labels. Depuis 2005, marqués par différents événements médiatiques, les cosmétiques Bio sont sortis de leur circuit élitiste pour conquérir les
autres marchés. Point sur ce secteur en pleine évolution…

Cosmétiques le point de vue du client…

Bio Linéaires publie en exclusivité les résultats d’une enquête que nous avons fait réaliser en juillet 2010 auprès d’échantillons représentatifs
de la clientèle de cosmétiques en magasins spécialisés « bio ». Vous trouverez en page 57 les conditions de mise en oeuvre de cette
étude dans la note « fiabilité des enquêtes clients ». D’une manière générale 37% des clients sont acheteurs de produits cosmétiques
dont 17% régulièrement.

Quelle dynamique pour la cosmétique dans les magasins bio ?

La cosmétique bio fait partie depuis longtemps de l’assortiment standard proposé par les magasins de produits naturels et biologiques, ces « magasins diététiques » qui ont pour certains une histoire longue de plusieurs dizaines d’années. Mais depuis 5 ou 6 ans, ce secteur de la cosmétique bio a littéralement explosé, quittant son circuit « historique » pour trouver une place partout où la cosmétique est traditionnellement présente : de la parfumerie à la grande distribution, en passant par la pharmacie, la parapharmacie ou la VPC. Un enfant prodigue qui de toute évidence est en train d’échapper à ceux qui ont cru en lui, bien avant que cela devienne… lâchons le mot, une mode. Les magasins bio risquent-ils de se retrouver être le circuit de distribution paradoxalement le moins dynamique en la matière ? Ont-ils des moyens de lutter, et si oui quelles sont leurs armes ?

Quelle dynamique pour la cosmétique dans les magasins bio ?

Nous arrivons au quatrième volet de notre série d’articles essayant de déceler les axes sur lesquels les magasins bio doivent travailler afin de
pouvoir continuer à jouer un rôle notable sur le marché de la cosmétique bio qu’ils ont initié il y a maintenant de longues années, mais pour
lequel ils font face à une concurrence de plus en plus diversifiée et aux moyens souvent incomparables… Et parmi ces axes, il y a celui de la
compétence et de la motivation des équipes de vente.

La référence pour les professionnels de la distribution bio spécialisée et alternative

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