Après avoir défini les huiles essentielles, présenté celles qui existent et mis en avant leurs différents critères de qualité, nous poursuivons nos recherches pour mieux les connaître. En effet, pour bien les différencier des non biologiques, bien les conseiller et faire le bon choix, une connaissance au niveau qualitatif, réglementaire et sur leurs différentes utilisations est désormais indispensable… 2ème volet…
www.restocobio.fr : un site pour la restauration collective en Pays de la Loire Un nouveau site web a été ouvert début septembre par l’Inter Bio des Pays de La Loire. Il rassemble les fournisseurs de produits bio de cette région pour la restauration collective. Référent régional sur ce secteur l’Inter Bio travaille avec ses partenaires […]
Présentation du document E. coli A la suite de l’affaire des graines germées contaminées par E. coli, ceux – hélas nombreux – que le développement du bio gêne, n’ont pas raté cette occasion inespérée de dire que les produits bio ne seraient pas plus sains que les conventionnels, voire qu’ils comporteraient davantage de risques. Une […]
Un bon recrutement ne se termine pas lors de la signature du contrat de travail de votre nouveau collaborateur. Vous pouvez être satisfait de votre choix. Vous avez fait certainement le meilleur et vous venez d’embaucher votre mouton à 5 pattes qui va permettre à votre entreprise de poursuivre son développement.
La Fédération Nationale d’Agriculture Biologique des régions de France a été créée en 1978. Elle représente les producteurs bio qui adhérent à leur groupement départemental (GAB), ces derniers composent les groupements régionaux (GRAB). Selon les régions, ce taux d’adhésion varie entre 30 et 80%. En moyenne elle représente près de 50% des paysans bio en France. Le réseau Fnab met en oeuvre 4 missions principales au service de tous les paysans bio et de leurs organisations économiques.
Depuis 1992, le GRAB porte le développement de la bio en Basse-Normandie. Il a été créé à l’initiative d’agriculteurs bio et de militants. Sa mission principale est de coordonner le développement de l’agriculture biologique de manière conséquente, durable et équitable.
Du 15 au 18 février 2012, l’univers bio dans toute sa diversité se rassemblera de nouveau à Nuremberg. Environ 2 500 exposants et 44 000 visiteurs professionnels seraient de nouveau attendus. Cette année le thème principal sera consacré au développement durable dans le secteur bio et le pays à l’honneur sera l’Inde.
Opérationnel depuis 2003, le CQP de Vendeur-conseil en produits bio est maintenant reconnu par la profession. Elaboré par la Fédération Nationale de I ‘Épicerie (FNDE), il permet, chaque année, à plusieurs dizaines de salariés d’obtenir une qualification adaptée au métier. En effet, son programme couvre en totalité les besoins d’un magasin spécialisé bio : connaissance dans la gestion quotidienne du magasin, connaissance des produits vendus et aptitude à la vente. Point sur cette formation adaptée spécialement aux boutiques bio….
Depuis notre dernière édition de septembre / octobre (n°37) pour la période de mi-août à fin-octobre 2011, nous avons comptabilisé 14 ouvertures de magasins (10 dans le n°37) pour une surface de vente de 4258 m² (2810 m² dans le n°37). La surface de vente moyenne pour cette période est de 304 m² (281m² dans le n°37). Pour information, en 2010 sur la même période, 22 ouvertures avaient été répertoriées. Nous vous rappelons que cette liste n’est pas exhaustive et que nous la réactualisons au fur et à mesure dans nos parutions. Pour être présent sur cette page, il suffit simplement de nous contacter au 02 41 42 97 13 ou par mail à : biolineaires@wanadoo.fr
Dans la première partie de cette série d’articles, nous avons vu que si la cosmétique bio fait partie depuis longtemps de l’assortiment standard proposé par les magasins de produits naturels et biologiques, ceux-ci ont largement perdu – depuis l’explosion récente de ce marché – le leadership incontesté en ce domaine. Sur l’ensemble du marché de la cosmétique, lesdits magasins bio ne représentent en effet que quelques petits pourcents des ventes, loin derrière la GMS, la distribution sélective et la pharmacie qui a eux seuls s’accaparent 70 % du marché. Et sur les quelques
4 % de cette cosmétique qui sont «naturels et bio », la part de marché des magasins bio a chuté de 51 % en 2006 à 34 % en 2008, l’érosion n’étant sans doute pas terminée. Un véritable combat de David contre Goliath… D’où la question : comment lutter ?
Le magazine des magasins bio et des épiceries alternatives de proximité (EAP)
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