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Unadis : une fédération professionnelle nécessaire au secteur

La première a été la résolution définitive d’un problème d’accises pour des livraisons en provenance de France. Le fournisseur concerné a exprimé sa satisfaction d’avoir eu, en Unadis, un interlocuteur unique et de premier plan, ayant une connaissance parfaite du dossier et représentant plusieurs de ses clients parmi les plus importants.

Sur ce dossier, les membres d’Unadis concernés ont trouvé chez Unadis soutien et assistance notamment lorsque les contrôleurs du ministère des finances se montraient insistants.

 

La deuxième est l’organisation d’une formation de vendeurconseil BIO en collaboration avec l’IFAPME (Institut de Formation en Alternance et des indépendants et Petites et Moyennes Entreprises) répondant ainsi à une demande primordiale des détaillants en matière de formation du personnel.

 

La troisième réalisation, et la plus récente, est la stabilisation et l’éclaircissement du statut des essences florales en général et des fleurs du Dr Bach en particulier. Grâce à ses contacts et sa collaboration étroite avec Naredi (Fédération belge de l’industrie et du commerce des produits naturels, diététiques et de réforme), Unadis a obtenu un arrêt des contrôles de l’AFSCA (l’Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire). La notification de ces produits restera obligatoire afin de préserver l’objectif premier de la notification : la sécurité du consommateur. Toutes les essences florales pourront être notifiées même celles qui sont issues des plantes reprises sur la liste des plantes interdites ( cf. liste 1 de l’Arrêté Royal « plantes » de 1997). Et c’était bien le plus compliqué justement parce qu’il s’agit d’un Arrêté Royal auquel nos autorités sont très attachées. Dans ses pourparlers, Unadis a fait des propositions qui rencontraient cet attachement aux règlements et lois en vigueur et qui permettaient le maintien du commerce des essences florales. Ces propositions ont été retenues. Dans quelques temps, toutes les essences florales seront conformes.

Leur commerce pourra prospérer à la grande satisfaction des fabricants, des détaillants et des consommateurs. Et tout le secteur aura conservé sa crédibilité aux yeux des autorités.

Unadis a encore bien d’autres réalisations à son actif et de nombreux projets à mener à bien.

Elle oeuvre dans le respect des règles en veillant à préserver et tendant à développer l’activité commerciale de ses membres.

En cela, elle est appréciée voire enviée par les détaillants étrangers.

 

Fournisseur-détaillant : un partenariat gagnant

Au début du commerce de détail BIO, les fournisseurs étaient peu nombreux et imposaient quelque peu leur loi. Les détaillants faisaient du commerce de produits bio principalement par philosophie.

La demande, l’offre croissante et l’entrée en vigueur des règles de sécurité et d’hygiène alimentaire a professionnalisé toute la chaîne commerciale.

L’évolution de cette chaîne a été très rapide. Et le fournisseur et le détaillant se sont éloignés, se sont moins parlés. Ils se sont perdus de vue. A tel point que chacun ne connaissait plus les besoins, les contraintes et les attentes du métier de l’autre. Quel détaillant n’a pas « pesté » sur un emballage mal conçu, trop grand pour être installé dans les rayonnages, avec des informations primordiales noyées et/ou illisibles parmi des informations secondaires, des marges proposées qui ne permettent plus de couvrir les charges fixes, des promotions organisées à des périodes incongrues, …

Pour développer le volume des ventes, les fabricants et les fournisseurs ont compris qu’il fallait convaincre le détaillant et le former pour qu’il conseille sérieusement le consommateur. Les salons professionnels, les conventions et les formations ont permis aux fournisseurs et aux détaillants de se rencontrer. Vendre restait l’objectif principal pour les deux parties mais chacun « ne se préoccupait que de son côté du business ». Au fur et à mesure de ces rencontres, des liens, parfois très amicaux, se sont tissés entre les détaillants et les fournisseurs. Les discussions se sont approfondies. Des partenariats commerciaux se sont créés. Et le secteur a poursuivi son développement.

Aujourd’hui, certains fabricants et fournisseurs ont compris l’importance de l’avis des détaillants dans le processus de développement de leurs produits. Cette implication du détaillant donne à ce dernier une image positive du produit et de la marque, et crée une relation d’ordre affective envers le produit et la marque. Et lorsqu’il est amené à conseiller un produit à un client, le détaillant pensera directement à un produit dans lequel il se sent impliqué.

Des expériences ont été menées par certaines marques. Elles montrent une hausse très significative des ventes. Pour le fabricant, il a plus de certitude que son produit rencontrera un bon accueil auprès de la majorité des détaillants si ceux qui sont intervenus en amont, ont rendu un avis favorable ou que leurs remarques ont été suivies. Unadis est bien entendu favorable à ce genre de démarche des fabricants envers ses membres qui, par leur intérêt pour le secteur et leur vision dynamique, font partie des détaillants de référence.

La référence pour les professionnels de la distribution bio spécialisée et alternative

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