« J’organise un à deux événements par mois avec des producteurs locaux » (épicerie « Ni plus ni moins »)
Photos : Ni plus ni moins. Amandine Duranton a ouvert son épicerie vrac il y a 18 mois, après avoir travaillé quelques années dans le recyclage des déchets au niveau international. Elle nous explique sa logique de parcours et ses motivations qui l’ont conduit à s’épanouir dans ce nouveau métier. Bio Linéaires : Amandine, comment avez-vous ouvert votre épicerie ? Amandine Duranton : J’ai ouvert en novembre 2021, après avoir beaucoup échangé avec d’autres épiceries existantes sur Toulouse. J’ai ciblé un quartier de Toulouse un peu excentré où il n’y avait pas d’épicerie vrac, mais d’autres commerces complémentaires : boulangerie, primeur, boucher… afin de développer une synergie et une offre de proximité. Je ne voulais pas me sentir seule, et avoir une vie de quartier où les gens se connaissent. « Faire de l’économie circulaire avec le plastique existant, c’est bien, mais vivre dans un monde où on produit pour […]
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