Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Référencement, implantation : les clés de la réussite ! …

Faire une bonne cave pour l’été !

Le rosé, vin de l’été !
Les vins rosés sont souvent très appréciés lorsque la température augmente. L’été est donc la période où les ventes de rosé sont les plus importantes. La raison qui revient est simple : la qualité principale de ces vins tourne autour de la notion de fraîcheur. Fraîcheur dans ses arômes avec ses saveurs de petits fruits rouges genre groseille, framboise ou bonbon acidulé et fraîcheur de la température, car il se consomme frais entre 7 et 8°C. Enfin, il est assez polyvalent car certains l’apprécient pour accompagner un repas léger avec salades et grillades et d’autres encore le préfèrent servi à l’apéritif. Il est donc impératif de prévoir une place significative sur ce type de vins dans les caves « bio » des magasins.

Quels vins proposer ?

De nombreuses régions proposent des vins rosés. La sélection est toujours délicate. Toutefois, certaines références deviennent incontournables car les médias, les coutumes, les fournisseurs proposent certains types de vins rosés. Voici une sélection parmi beaucoup d’autres qui tient compte du rapport qualité/prix. Rappelons qu’il est recommandé pour une bonne rotation du rayon de disposer d’une gamme large en référence et en prix.
Vins rosés de Pays :
Cévennes, Pays du Gard. Entrée de gamme idéal en dessous de 5 euros la bouteille. Bon rapport qualité/prix. On les retrouve aussi en bag in box de 5 litres à moins de 20 euros TTC prix consommateur.
Rosés d’Anjou et de Loire :
Rosé de Loire, Cabernet d’Anjou, Touraine, ils peuvent être secs ou demi-secs et ont la réputation d’être parfumés et légers. Tarif entre 5 et 8 euros.
Bordeaux rosés :
Plus connu en rouge, les Bordeaux proposent aussi des rosés très fruité et idéal sur des plats d’été.
Côte de Provence :
en Provence, plus des ¾ des rosés sont des AOC Côtes de Provence. Leur réputation n’est plus à faire, car ils s’accommodent avec tous les plats typiques de l’été : ratatouille, bouillabaisse, plats méditerranéens, etc. Leur prix varient de 6 à 12 euros la bouteille en fonction des appellations.
Le saviez-vous ?
En France, la Provence représente 38% de la production de rosés alors que la Loire est à 22%, le Bordeaux à 13%, le Rhône à 11%, les autres restant assez confidentiels (Corse, Sud- Ouest, Languedoc, Roussillon).

Un rayon alcool BIO : pourquoi ?

● proposer une nouvelle offre produit.
● fidéliser la clientèle et éviter qu’elle aille dans le commerce traditionnel (caviste, GMS…) acheter ses alcools. (signalons que peu ou pas de spiritueux bio sont dans ce type de magasin)
● disposer d’une offre cohérente et complète

Où l’implanter

● à proximité ou dans la cave à vin. En cas d’un emplacement spécifique le positionner près des produits pour l’apéritif (gâteaux, cacahuète, chips…). Pensez aux ventes additionnelles.
● L’achat de ce type de produits est un acte réfléchi, éviter les allées trop passagères ou étroites.

IMPORTANT : informez le client que vous avez un rayon alcool. Prévoyez une signalétique attractive et bien visible.

Quand l’implanter

Les deux périodes les plus propices sont l’été et la fin d’année. Ces périodes correspondent respectivement aux vacances d’été où l’alcool entre dans l’élaboration des cocktails et aux périodes des fêtes de fin d’année où le côté festif est mis en avant.
Même si vous en proposez tout au long de l’année, il est indispensable de créer des évènements spécifiques et des animations (dégustation, élaboration de recettes «cocktails bio» en relation avec le rayon fruits et jus de fruits.).
Le saviez-vous ? Selon la Fédération Française des Spiritueux, la météo aurait un impact sur le chiffre d’affaires : plus il fait chaud plus il y a consommation.

Quels produits proposer ?

Un minimum de références est à proposer. Voici pour information, la répartition des ventes des principaux spiritueux tous circuits : Whiskies : 38%, Anisés : 30,5%, Rhum : 6,5%, Liqueurs : 6,5 %, Vodka – Gin : 5,2%

Le + Bio
Contrairement aux alcools conventionnels, l’origine des matières premières est certifiée bio. Les ateliers de distillation sont soumis à la réglementation bio en vigueur (traçabilité, stockage, analyse, comptabilité matière…) mais n’utilisent que certains process traditionnels pour garder l’authenticité du produit. Pour la Vodka, la filtration sur des filtres à carbone et l’addition de glycérine (qui donne l’impression de douceur) sont proscrits. Enfin, pour le rhum, la notion de commerce équitable est à mettre en avant.

Autres informations

La référence pour les professionnels de la distribution bio spécialisée et alternative

Cookie policy
We use our own and third party cookies to allow us to understand how the site is used and to support our marketing campaigns.