Depuis des années dans nos colonnes, notre expert Sauveur Fernandez alerte sur le sujet : si le concept de désirabilité est familier aux agences de communication ou marketers, il l’est beaucoup moins aux commerçants et commerciaux de la bio. Solution : promouvoir une Bio augmentée qui intègre les nouveaux imaginaires clients !
La Bio face à un déficit de désirabilité
Travailler sa désirabilité signifie valoriser les arguments rationnels, tout en créant une attirance « magnétique » qui donne envie « d’en être ». Il faut pour cela créer une valeur immatérielle fondée sur le service et répondre aux nouvelles attentes du client (cf. BL 105).
Cela commence par le conseil : la clé d’entrée pour une bio désirable !
Le consom’acteur séduit par de nouveaux imaginaires sociétaux
Au-delà du conseil indispensable, le réseau bio doit travailler l’expérience client, revoir son image (et pas seulement celle du prix), communiquer mieux et davantage (sur ses atouts, ses bénéfices, sur les labels…). Mais la vraie sortie de crise s’effectuera avec une écoute fine des nouvelles attentes du consom’acteur (voir illustration).
Retrouvez les quatre étapes à suivre pour retrouver la désirabilité en magasins bio, ainsi que les 6 grands défis à relever (riches en exemples ou cas inspirants) pour une bio désirable à l’écoute des attentes du nouveau consom’acteur dans notre dossier La Bio augmentée.