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SALUS : objectif qualité absolue

 

 

Une entreprise pharmaceutique née de la nature
« Pour définir Salus en une phrase, je dirai que nous sommes effectivement une entreprise de tradition, fabriquant à la fois des médicaments – nous avons le statut d’établissement pharmaceutique – et des compléments alimentaires, en appliquant à ces derniers la même rigueur que pour les premiers, commence M. Kutscher. Et ce qui nous caractérise également, c’est l’emploi systématique, chaque fois que cela est possible, de plantes bio dans toutes nos préparations ».

Etre un laboratoire pharmaceutique ne signifie pas pour autant renoncer aux immenses forces que recèle la nature, bien au contraire. Cette démarche trouve ses racines dans l’impulsion initiée par Otto Greither père, le fondateur de la marque, toujours respectée un siècle plus tard : « Médecin de formation, lui-même souffrant, il en vint à la conclusion que beaucoup de maladies étaient dues à une perturbation du métabolisme, et plus particulièrement de la digestion. Pour lui, construire une vie saine ne consistait donc pas seulement à guérir : il fallait aussi apprendre à rester en bonne santé, en se basant sur un précepte très ancien, puisqu’il fut celui de saint Benoît : la ‘bonne mesure’ ».

Une bonne mesure à trouver pour ce que nous mangeons, buvons et faisons dans notre vie. Et encore plus dans notre monde d’aujourd’hui, avec ses stress et autres pressions. L’idée de M. Greither fut ainsi de rectifier de façon naturelle ce métabolisme gastro-intestinal, comme précise Volker Kutscher : « Hippocrate disait déjà ‘La mort commence dans le côlon’. Ce que l’on peut traduire, de façon plus positive, par ‘C’est dans notre intestin que se construit la vie’. M. Greither développa ainsi sa notion de cure dépurative, à savoir détoxiner le tractus gastro-intestinal. Et ce en

 

suivant les principes de diurèse (élimination par l’urine), de diaphorèse (sudation), d’une meilleure digestion, et enfin de tonification pour stimuler les organes. A cette époque on ne connaissait guère les extraits secs, et il n’y avait donc ni gélules ni capsules, uniquement des tisanes et des formes liquides. Ainsi naquirent les préparations liquides, ancêtres de formules comme l’actuel Floradix ».

 

La synergie additive à la source de l’efficacité

La volonté de M. Greither de stimuler l’organisme de façon naturelle lui fit imaginer un principe alors totalement nouveau : celui de la synergie additive, consistant à associer les effets isolés de différents actifs pour obtenir, par effet de cumul, une action globale réellement efficace. Cette approche permet d’utiliser des dosages en actifs assez faibles, « sous-dosés », avec un avantage énorme : celui de ne pas avoir de plantes trop dosées, et donc d’éviter leurs éventuels effets secondaires indésirables.

Cette synergie additive s’obtient par l’association de plantes, de vitamines, de minéraux, d’oligo-éléments… Exemple typique : l’incontournable Floradix, pour un bon apport en fer. L’absorption du fer étant faible, Salus a ajouté de la vitamine C pour la stimuler, mais aussi de l’églantier et des jus de fruits naturellement riches en vitamine C. Des jus qui apportent par ailleurs des acides de fruits, très importants car ce sont des stimulants doux de la digestion, le fer pris régulièrement provoquant sinon à long terme comme effet secondaire typique la constipation. Prévalent donc ici à la fois

les principes de « bonne mesure » et de synergie, synergie à laquelle participent également les acides aminés apportés par un extrait de levure de bière, utile comme exhausteur de goût mais aussi riche en vitamines du groupe B, tout comme l’extrait de germes de blé que l’on trouve également dans la formule.

« Floradix est l’exemple même de la formule scientifiquement documentée, précise M. Kutscher. D’ailleurs, vous n’y trouverez pas de vitamine E, ni de zinc – ce qui nous est souvent demandé – car tous deux inhibent l’absorption du fer ». Autre exemple de formule synergique, innovation Salus qui existe depuis environ 6 ans : IntestCare, un produit d’entretien de l’intestin, sans équivalent direct sur le marché. Cette cure à base de plantes (curcuma, artichaut, gingembre, romarin…) contient aussi du magnésium, non pas pour pallier une éventuelle carence de ce minéral, mais pour son action osmotique : en permettant de garder l’eau dans l’intestin, il facilite l’élimination des matières fécales.

Autre exemple, Protecor, complément alimentaire pour le coeur et la circulation, qui existe depuis 5 ans. Il contient des baies d’aubépine, connues traditionnellement pour leurs effets positifs sur la circulation sanguine, du magnésium nécessaire pour les processus métaboliques essentiels du corps, de la vitamine E et d’autres ingrédients riches en antioxydants capteurs de radicaux libres, comme la grenade ou le raisin. Au final une formule à la synergie très positive. Et à l’instar des autres préparations liquides Salus, sa forme permet une absorption très rapide des nutriments par le corps.

 

 

Les plantes bio comme élément de qualité « Qualité absolue », le mot d’ordre donné par l’actuel président de la société, M. Otto Greither fils, passe par le choix raisonné du bio, ou de la cueillette sauvage, pour les 1000 tonnes de plantes travaillées chaque année par l’entreprise. D’où également, d’une part pour accéder à une qualité des plus élevées, et d’autre part pour ne pas être dépendant des saisons en Europe, la création en 1992 au Chili d’une ferme bio qui appartient en propre à Salus. Ses 700 hectares, sous un climat idéal et dans un environnement des plus purs,

couvrent 30 à 40 % des besoins annuels. D’autres plantes viennent de France, comme l’artichaut ou certaines huiles essentielles, d’Afrique du Nord ou d’Europe de l’Est. Ces productions sont certifiées bio par Lacon, un certificateur indépendant des plus réputés en Allemagne.

 

 

Le site de Salus, à Bruckmühl (Bavière) est bien sûr lui aussi inspecté par Lacon, deux fois par an, avec une rigueur toute… germanique. A ces contrôles s’ajoute celui réalisé tous les 2 à 3 ans par le gouvernement de Haute-Bavière, portant sur les Bonnes Pratiques de Fabrication, et qui dure à chaque fois une semaine.

 

Qualité Pharmacopée…

et plus encore Car il ne faut pas oublier que Salus est un établissement pharmaceutique, avec un point essentiel : l’application des normes et des exigences pharmaceutiques également à tout ce qui est complément alimentaire. On retrouve ainsi l’obligation de l’identification des principes actifs spécifiques, la quantification de substances dites de « marquage », des contrôles physiques et microbiologiques, comme pour un vrai médicament. Et comme il s’agit en général de matériel végétal, s’y ajoutent des vérifications approfondies et plus sévères que celles exigées par la législation européenne (pesticides, métaux lourds, aflatoxines, radioactivité…). Une fourchette de contrôles qui est même plus large que ce qui est exigé par la Pharmacopée. Pas une seule matière première entrante n’y échappe bien sûr : jus de plantes, sels minéraux, miel, etc. Si nécessaire, et parce qu’une certification bio n’est pas forcément une preuve suffisante, les ingrédients bio peuvent être recontrôlés, même ceux provenant de la ferme Salus. En cas de doute, même les sols ou l’eau utilisée pour les cultures peut être analysée. Car seule la qualité prime.

 

 

Les contrôles se poursuivent ensuite, sur tous les lots sans la moindre exception, sur différents points de la chaîne de production, puis sur le vrac avant le conditionnement final, et encore une fois sur le produit fini, avec vérification du contenu effectif. La méthode pharmaceutique implique entre autres, conformément aux

normes de l’ICH (Conférence Internationale sur l’Harmonisation), des « stress-tests », c’està- dire par exemple des tests à la chaleur, ou encore des tests de stabilité sur les… contenants ouverts. A noter que de façon générale, Salus procède à des contrôles de stabilité en temps réel, c’est-à-dire jusqu’à 3 ans, ce qui permet de connaître une DLUO (date limite d’utilisation optimale ) réelle des produits, ceux-ci ne contenant chez Salus – rappelons-le – ni alcool ni conservateurs. Chez Salus, de façon claire, les normes de qualité dépassent de loin les exigences habituelles pour les compléments alimentaires.

 

 

L’échange terrain pour progresser

En France, Salus est présent depuis plus de 30 ans. Outre la collaboration forte avec Pur Aliment, le distributeur exclusif pour la France, partenaire réputé des magasins bio, la firme est aussi proche des naturopathes, pour qui des séminaires sont organisés, dont bénéficient aussi les animatrices Pur Aliment qui interviennent en magasin. Un contact terrain important pour expliquer les produits mais aussi les améliorer en permanence. Une amélioration qui vient également des intenses échanges avec les administrations de la soixantaine de pays livrés dans le monde, dont certains – Amérique du Sud et Asie notamment – ont pour les compléments des exigences bien plus strictes que ce qui est demandé en Europe. Pour ne prendre qu’un exemple, les exigences de stabilité nécessaires sous des climats plus difficiles ont permis de trouver des améliorations de packagings qui ont été étendues aux produits livrés sous nos latitudes.

L’amélioration est bien constante chez Salus. Demain verra de nouvelles formules innovantes, d’autres toniques liquides, mais aussi des tisanes, produits très bien perçus par les consommateurs, ou d’autres formes de présentation qui permettront de faciliter encore plus la prise des produits, et donc de diffuser toujours plus ces superbes préparations imaginées il y a 100 ans par Otto Greither pour une vie plus saine.

 

La référence pour les professionnels de la distribution bio spécialisée et alternative

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