Bio Sociétal : Bio et grands enjeux sociétaux.
Alors que le numéro 64 de mars/avril est en cours de diffusion (Rayon vrac : singularité du magasin bio), l’équipe de Bio Linéaires construit de manière collaborative la prochaine édition. Le dossier principal dans Bio Linéaires de mai/juin sera intitulé Bio Sociétal. L’objectif est de sensibiliser nos lecteurs sur la place qu’à la bio parmi les grands enjeux sociétaux actuels ou à venir.
Ce dossier d’une douzaine de pages comportera deux parties :
-une écrite par Sauveur Fernandez, expert en éco-innovation produits bio et en développement durable, qui fera une présentation synthétique, ludique et pratique de ce qu’est le développement durable. (Voir sommaire ci-après)
-une écrite par Cédric Rousselet de Bio Développement, qui à travers une enquête auprès de consommateurs exclusivement recrutés dans les magasins bio (voir aperçu du questionnaire via le lien suivant), nous présentera le ressenti de ces derniers vis-à-vis du bio et du développement durable mais aussi dans d’autres domaines très novateurs de l’économie et de la consommation comme la consommation responsable et collaborative, l’économie circulaire, etc.
Bio Sociétal : Bio et grands enjeux sociétaux
1- INTRODUCTION
Contexte général : les grands défis sociétaux du monde – Le rôle crucial des entreprises – RSE : le développement durable adapté aux entreprises — Le bio et la RSE : nécessité d’élargir son champ – RSE non ou peu compris dans les labels officiels. Les missions et apports du bio.
2-CONCEPTS CLES ET VUE D’ENSEMBLE
-Les grands enjeux : définition du Développement Durabe – ses 3 piliers – Bref historique (les grandes dates) – RSE et DD, ses grands champs d’application : insertion, autonomie, préservation des ressources, santé, entraide et lien social.
-Les spécifités et rôles de la bio : une vision holistique acquise mais un regard trop centré « lien au sol » avec un sens de la solidarité à élargir – un tissu de PME – Labels bio officiels et RSE : les faiblesses – Ses apports et missions pour une société meilleure.
–Les démarches volontaires, normes et labels : pas de labels uniques mais un patchwork normes de normes, labels, et organismes d’accompagnement – les labels pricipaux focus sur les « normes » iso 14000 etc et iso 26000 avec ses 7 champs d’application.
-En route vers l’économie circulaire : grands pricnipes – ses nuces et familels : eco-conception – écologie idustrielle, etc.
-Gouvernances et parties prenantes
3-LES 4 GRANDS CHAMPS D’APPLICATION
Social : respecter les droits de l’homme – lutter contre la corruption – contribuer à l’emploi – des employés heureux – s’engager pour la diversité, la parité, l’accessibilité – le lan mangement – L’entreprise libérée…
Environnement : préserver et favoriser la biodiversité – produire sans gaspiller ni polluer – réutiliser les déchets – établir un bilan carbone – développer les écogestes (tri des papiers) – sensibiliser ses parties prenantes
Energie : favoriser la transition énergétique – Tendre vers un idéal : produire plus d’énergie que ce que l’on en consomme – l’ère des eco-batiments.
Eco-produit / Ecoservice / consommateur :
-la quête ultime : produire des produits ou services bons pour l’homme et la planète
-Communiquer et sensibiliser autrement – Co-crer avec le consom’acteur
4-CONCLUSION
Focus sur un produit alimentaire saine globale de 2050 : un produit alimentaire sain, de saison, produit à proximité avec des ingrédients locaux et un emballage biodégradable, avec un apport en sel et sucre limités, évitant le gaspillage les déchets en fin de vie, rémunérant convenablement son producteur et impliquant à chaque maillon de la chaîne le consommateur.
Autres : TVA circulaire, Comptabilité Bénéfique, etc.
Pour avoir accès à l’aperçu du questionnaire (enquête consommateurs bio)