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[Interview] Salon Vrac n’ Co : Amandine Duranton / épicerie Ni plus Ni moins

À l’occasion du salon des épiciers indépendants organisé lundi 30 janvier par le groupement Vrac n’ Co, à Montauban, Bio Linéaires fait le point avec les exposants et visiteurs de ce salon. Actualité produits, bilan de la journée et regard sur ce nouveau canal de distribution que sont les Épiceries Alternatives de Proximité (EAP). 

Écouter l’interview d’Amandine Duranton (épicerie Ni plus Ni moins)

 

«ce premier salon, c’est l’occasion de rencontrer les producteurs et découvrir leurs nouveautés»

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Bio Linéaires : Bonjour à tous, je suis au salon de Vrac n’ Co à Montauban, je suis en compagnie d’Amandine Duranton qui tient l’épicerie Ni plus Ni moins à Toulouse. Pourquoi êtes-vous venue à ce salon ? 
Amandine Duranton : Bonjour, je suis venue parce que je fais partie du groupement Vrac n’ Co depuis l’ouverture de mon épicerie en novembre 2021. J’avais fait le choix d’adhérer à ce groupement pour avoir des conseils de la part de Vrac n’ Co mais aussi avoir des contacts de fournisseurs, notamment locaux, et aujourd’hui, ils font ce premier salon donc pour moi c’est l’occasion de rencontrer les producteurs et de découvrir leurs nouveautés.

BL : Dites-nous en plus sur votre magasin, quelle surface fait-il et comment se présente-t-il ? 
A. D. : Mon magasin, c’est une épicerie qui se situe quartier Pont des Demoiselles à Toulouse. On est sur une surface de 50 m² et c’est un magasin qui va regrouper tous les produits du quotidien, à la fois alimentaire et une partie non alimentaire, tout ce qui est produits d’entretien et cosmétiques.

BL : Concernant le salon, est-ce que vous avez trouvé ce que vous cherchiez, quels sont les points forts ? 
A. D. : Pour moi, c’est super intéressant. Il y a deux points : le premier, c’est de rencontrer des producteurs avec lesquels j’ai l’habitude de travailler mais que je n’avais pas encore eu l’occasion de rencontrer, de parler de leur produits que j’ai en magasin, d’avoir un argumentaire de vente. Des fois, on sort nos arguments en fonction de notre expérience mais c’est aussi bien d’avoir plus d’éléments de la part du producteur donc j’ai appris énormément de choses ! Et aussi de découvrir des nouveautés et de voir un peu ce qu’on peut faire entrer en magasin pour alimenter notre offre existante.

Propos recueillis par Antoine Lemaire

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