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Motivations et comportements d’achats en magasins spécialisés

Le consommateur bio se décrit lui-même comme assez peu fidèle que ce soit à l’égard des produits et des marques que des différents lieux d’achats. Maintenant bien informé, il est vigilant et réactif à toute modification du rapport qualité/prix. Sa perception de la qualité se construit en premier lieu par les produits en eux-mêmes puis par l’importance du choix dans l’espace de vente et par le prix. L’attractivité du lieu de vente et la qualité des informations viennent ensuite. Circuit court, authenticité, les achats directement au producteur sont plébiscités ou quand ils lui sont impossibles, délégués au magasin dont il attend dans ce cas une préférence marquée pour des étalages issus de l’économie locale ou régionale. Sa principale motivation est la santé avec pratiquement au même niveau la préservation de l’environnement. Convaincu de la qualité nutritionnelle et du potentiel de saveurs supérieures des produits bio, il porte son attention à l’écologie du produit via l’emballage et les informations qui y figurent.
Après les informations sur l’origine des matières premières et le lieu de fabrication, de nouveaux besoins d’informations sont émergents: ils portent
sur des notions de garantie environnementale des producteurs et de garantie sociale de production.
Le budget consacré aux achats alimentaires bio est non extensible pour une majorité à l’exception d’une clientèle plus urbaine un peu plus jeune et
très sensible aux caractéristiques sociétales, voir éthiques de l’offre.
Le présent dossier est réalisé à partir d’enquêtes réalisées fin 2011 et en 2012. Pour traiter l’aspect comportemental et les attentes génériques du
consommateur bio en magasin spécialisé, une enquête spécifique auto administrée par mail a été réalisée en mai 2012.

Le marché alimentaire bio +11% en 2011

Selon les dernières données de l’Agence bio le marché des produits alimentaires (à domicile) issus de l’agriculture biologique a encore connu en 2011 une forte augmentation. En effet, il est passé de 3,385 milliards à 3,755 milliards d’euros TTC soit une hausse de +11% (10,8% en 2010). La consommation de produits bio a presque doublé par rapport à 2007 (2 milliards d’euros) et le marché de l’alimentation bio a atteint 2,4% du marché alimentaire total (contre 1,3% en 2007). La part de marché des produits bio est plus ou moins importante suivant les secteurs. Elle a par exemple dépassé 10% s’agissant du lait et des oeufs et atteint près de 6% pour les 14 fruits et légumes les plus consommés en France.

Connaître et valoriser la famille des prunes

La prune est un fruit à durée de vie très courte, synonyme de fruit plaisir, mais qui demande à être bien travaillée pour satisfaire pleinement le
consommateur. Du Sud Ouest au Sud Est en passant par la Lorraine pour les quetsches ou mirabelles, nombreuses sont les variétés, les formes
et les couleurs, permettant ainsi une diversité, mais également un allongement de la durée de vie de cette famille en rayon.

Insectes, maladies et mauvaises herbes : comment fait-on en bio ?

L’agriculture biologique interdit tous les pesticides de synthèse, dont on mesure chaque jour davantage l’impact négatif sur notre santé et sur
l’environnement. Les remplacer par des pesticides naturels n’est pas la principale alternative, contrairement à ce qu’on pourrait penser. Des
mesures préventives permettent en effet de diminuer fortement les attaques de maladies et de ravageurs

1970, année décisive pour la culture biologique (suite)

Serait-ce parce que le Conseil de l’Europe avait décidé de faire de l’année 1970 celle de la Protection de la Nature que la culture biologique a
fait sa première apparition publique dans les allées du Salon Agricole de Paris ? On ne peut l’affirmer … Cela faisait en effet déjà plus de dix
ans que ses pionniers, en méthode Lemaire-Boucher, s’occupaient résolument et pratiquement de sa protection contre les pesticides et
autres engrais chimiques. Ils ne l’avaient pas attendue…

À propos du bio… on croyait la hache de guerre enterrée

Nous étions beaucoup à penser qu’entre partisans du bio et du conventionnel, le temps des invectives et des grossières contre-vérités
était passé et que celui d’une cohabitation pacifique – ce qui n’exclut ni des divergences ni des critiques – était venu. Eh bien
on se trompait comme en témoignent trois articles parus récemment dans la presse agricole régionale.

La référence pour les professionnels de la distribution bio spécialisée et alternative

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