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« Je suis à Natexpo pour voir comment on peut surmonter la crise » (Maxime Ciarlo / Biocoop Les Temps Bio)

[INTERVIEW] Maxime Ciarlo du magasin Biocoop Les Temps Bio est venu à Natexpo pour assister aux conférences du Forum des Bio Tendances à la recherche de solutions dans un contexte de crise  du marché bio. Il se confie aussi auprès de Bio Linéaires sur la situation de son magasin situé à Vitrolles (13)

 

Écouter l’interview de Maxime Ciarlo

 

Bio Linéaires : Je suis en compagnie de Maxime Ciarlo du magasin Les Temps Bio, qui est une Biocoop, pourquoi êtes-vous à Natexpo ?

Maxime Ciarlo : Je suis venu à Natexpo parce qu’on est dans un contexte qui est compliqué et il y avait un certain nombre de conférences qui m’intéressaient pour voir comment on pouvait essayer de survivre à la crise et la surmonter et faire mieux.

 

« Je suis venu à Natexpo pour voir comment on peut essayer de surmonter la crise et faire mieux »

 

BL : Dans ce contexte, comment ça se passe pour votre magasin ? 

M. C. : On a ouvert en juillet 2021, en plein milieu du creux de la vague, donc l’ouverture est compliquée, on a réduit les effectifs, on a un chiffre d’affaires qui n’est pas au rendez-vous par rapport à ce qui était prévu avant le Covid, donc ce n’est pas la joie, on va dire … Malgré tout, on a une croissance qui est continue, constante. Tous les mois, on fait un peu mieux que le mois d’avant et que l’année d’avant, donc on a quand même ce côté-là, un peu d’espoir, on se raccroche en se disant qu’on va y arriver… mais ça reste quand même assez compliqué.

 

BL : Et au niveau de la fréquentation et du panier moyen, est-ce que vous avez quelques données ?

M. C. : Nous, on est sur un bassin avec pas beaucoup de CSP+, donc on est en plus dans un milieu socioprofessionnel qui est un peu compliqué ; on a fréquentation qui est en augmentation de 1 à 2 %, c’est pas énorme mais c’est toujours ça, mais on a un panier moyen qui est en baisse de 0,1 ou 0,2 % donc c’est à nous de retravailler le panier en magasin.

Propos recueillis par Antoine Lemaire

 

 

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