Tous les métiers ont leur lot d’activités, de tâches et de compétences. Mais il en est un qui bat des records, c’est celui de commerçant et qui plus est, commerçant-épicier. Ce seront de multiples tâches à accomplir, mini-tâches, maxi-tâches, dans une boutique de moins de 100 m² ou une supérette. Diapasonia fait le point. Cela peut être pesant jusqu’à ce qu’on passe le cap pour embaucher une seconde personne, apprenti(e), ou salarié(e). En fait, ce ne sont pas les m² qui déterminent les tâches, mais le niveau d’activité, le chiffre d’affaires, le passage clients par jour. La grande difficulté, c’est qu’on se sent un vrai couteau suisse, à devoir faire tout, tout seul, et surtout des activités un peu contradictoires. Certaines relèvent de l’organisation demandant de la concentration, quand les autres – accueil et conseil au client – sont du domaine du relationnel. C’est une bonne idée d’offrir au client […]
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